Pour faire écho à notre précédent article sur la traduction touristique, nous avons décidé de nous pencher cette semaine sur le secteur de l’alimentation, l’un des fleurons de notre économie. C’est vrai, l’art culinaire français est reconnu dans le monde entier : même nos voisins d’outre-Manche empruntent à la belle langue de Molière de nombreux termes relatifs au secteur de la restauration et de l’hôtellerie (ex. « chef, sous-chef, commis, garde-manger, saucier…). Rappelons également que depuis 2010, le repas gastronomique français est inscrit au Patrimoine immatériel de l’UNESCO.
Le secteur de l’agroalimentaire recouvre de nombreux aspects allant des emballages de produits salés, sucrés, charcuterie, produits laitiers et fromagers aux recettes, en passant par les cartes de menu.
La traduction de ce type de documents requiert tout d’abord la possession d’un vaste champ de connaissances relatives aux aliments, aux plats mis en valeur. Il est vrai que notre gastronomie nationale bénéficie d’un rayonnement dans le monde entier mais chaque région possède ses propres spécialités et cette affirmation est valable pour les pays du monde entier. En effet, un touriste en visite à Barcelone découvrira des mets gourmands différents de ceux proposés à Madrid ; en Italie, la cuisine du Sud présente d’importantes disparités avec la gastronomie du Nord. C’est précisément pour cette raison que nous privilégions la communication entre chacun de nos collaborateurs multilingues, cette « entraide » permet à chaque traducteur de fournir un document qui reflète à la perfection votre texte d’origine.
On comprend donc bien que la gastronomie est également une affaire de culture. Il est important de prendre en compte cet aspect lors de la traduction ; alors que dans certains pays, l’alimentation revêt une fonction de survie, dans d’autres pays plus riches où la nourriture est en grande abondance, les repas ont tendance à être négligés. D’autres pays encore choisissent de valoriser le « bien manger » malgré l’américanisation de l’alimentation : c’est le cas de l’Italie qui a été le berceau du mouvement « Slow Food », une organisation internationale à but non lucratif qui vient s’opposer à la tendance des fast-foods. Pour résumer la philosophie de ce mouvement, nous citerons Carlo Petrini, le fondateur de Slow Food : « Il est inutile de forcer les rythmes de notre existence. L’art de vivre consiste à apprendre comment dédier du temps à chaque chose ».
Enfin, la traduction gastronomique doit faire envie, doit « titiller » le palais du lecteur. Ainsi, nos traducteurs s’attachent toujours à donner à vos textes un style qui saura mettre en émoi les sens gustatifs de vos potentiels dégustateurs.
À titre d’exemple, nous avons récemment fourni nos services traductionnels et rédactionnels à une entreprise qui vend des produits à l’huile et à l’ail. Ce projet particulièrement intéressant et stimulant nous a permis de mettre en pratique nos qualités rédactionnelles en ce qui concerne l’italien, puis nos compétences traductionnelles à partir de l’anglais.
Toujours en ce qui concerne le secteur alimentaire, nous avons réalisé des traductions de parcours œnogastronomiques, de véritables invitations à découvrir les spécialités de la région en question.
Nous traduisons régulièrement des étiquettes de produits alimentaires, des normes relatives à la chaîne du froid, des recettes de cuisine, des cartes de menus…
Pour plus d’informations sur nos services, n’hésitez pas à consulter notre page dédiée aux traductions alimentaires en cliquant sur ce lien.